Une table-ronde sur le suivi social de migrants juifs d’après-guerre
En 2013, des historiens spécialistes des migrations et du travail social, et des travailleurs sociaux de la Fondation Casip-Cojasor avaient étudié l’évolution des méthodes du travail social du CBIP et du Cojasor entre 1945 et 1975, en s’appuyant sur l’étude de dossiers sociaux de personnes qui avaient immigré en France, en particulier trois populations : des survivants de la Shoah, des juifs égyptiens et des juifs tunisiens. Au terme d’une journée de restitution fructueuse, fin 2013, réunissant tout le service social de la Fondation et les historiens, l’idée de publier ce travail « inédit » apparaît et s’achève en février 2016 avec la publication d’un dossier dans la revue scientifique Hommes et migrations. « C’était un proj ...