Une relation historiquement compliquée

L'ONU n'est plus passif. Mais il continue à prendre des coups. Comme s'il n'était pas pensable de terminer une année sans une résolution contre Israël, l'Assemblée générale de l'Onu n'a pas failli et a réussi à voter le 30 décembre la saisine de la Cour internationale de Justice pour un avis consultatif sur « l'occupation israélienne ». Une décision de plus qui vient s'ajouter à l'organisation d'une commémoration de la Nakba pour le 15 mai prochain, comme un dédoublement de personnalité pour l'institution qui votait 75 ans plus tôt le plan de partage de la Palestine, rendant possible la création de l'État d'Israël. 2022 aura donc été fidèle, la tradition et consacré une large partie des ressources et des énergies de l'Onu à scruter et condamner les activités et les décisions d'Israël. Le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme poursuit les travaux de sa commission d'enquête permanente sur Israël, seul État à faire l'objet d'un tel intérêt. L'émissaire du Secrétaire généraldoit encore rendre les conclusions de sa visite, en décembre dernier, dans les territoires palestiniens, sur les enfants dans les ?ones de ?on?it, ??i promettent une nouvelle mise au pilori d'Israël. Et nul doute que les actes du nouveau gouvernement Netanyahou seront très rapidement passés au crible des institutions onusiennes pour produire d'autres condamna ...

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