Une histoire qui n’avance plus

Ainsi, le Choul’han Aroukh (Ora’h ‘Haïm 551, 6) énonce que dans la semaine de Ticha Beav, on ne porte pas de nouveaux habits, qu’ils soient blancs ou colorés, de lin ou de laine. Le Réma ajoute pour l’usage achkénaze : « Certains sont plus rigoureux et commencent cette restriction dès la néoménie du mois d’Av. Au paragraphe suivant, le Choul’han Aroukh enseigne qu’il est interdit de réparer de nouveaux vêtements durant la semaine de Ticha Beav et qu’il convient d’agir ainsi dès la néoménie d’Av. Le Réma ajoute qu’il est aussi interdit d’acquérir de nouveaux habits durant cette période. Plus loin encore (paragraphe 17), il est rapporté que durant les trois semaines, il convient de ne pas réciter le chéhé’hiyanou (bénédiction qui exprime la joie de vivre le temps présent) sur un nouveau fruit ou un nouvel habit. Autrement dit, ces trois semaines sont une période où le ‘hidouch, la nouveauté, le renouvellement, n’existe pas. C’est une période que l’on vit dans le présent exactement comme on vivait dans le passé, sans progression ni élévation. « Il n’y a rien de nouveau sous le soleil ».C’est aussi une maniè ...

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