Travail et éthique : Mode d’emploi

Monde du travail :« Cachez cette kippa que je ne saurais voir »Pas facile de trouver du travail ou même de le conserver lorsque l'on respecte Chabbat, les fêtes juives, ou que l'on porte la kippa. C'est du moins ce que l'on a tendance à penser. Pourtant, une pratique religieuse rigoureuse n'est pas forcément en inadéquation avec un poste de salarié au sein d'une entreprise.Travailler dans un monde de non-juifs tout en gardant les lois et les coutumes de ses ancêtres : voilà le défi que de nombreux Juifs doivent chaque jour relever. Difficile pour certains, impossible pour d'autres, le travail devient-il un enfer lorsque l'on est pratiquant ?    Pour Nicki Weintraub, directeur adjoint du Bureau du Chabbat (BDC), la pratique du Chabbat et des fêtes juives n'est pas un obstacle lorsque les choses sont clairement expliquées avec l'employeur. « Généralement, la nécessité de partir plus tôt le vendredi ne se pose que quatre mois par an, en hiver. Le reste de l'année, les horaires habituels peuvent être respectés sans qu'il y ait une transgression du Chabbat. Quant aux fêtes, elles ne représentent que six à huit jours ouvrables dans l'année, ce qui est tout à fait négociable ...

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