Sur l’Unesco, le mea culpa de François Hollande

Plus les jours passent, plus l’exécutif français prend ses distances avec le vote qui fut le sien, le 14 avril, à l’Unesco. C’est un revirement en trois temps auquel on assiste depuis dix jours, entre regrets sur la forme et remise en cause plus franche. Le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, avait été le premier à tirer à vue sur une « résolution mal rédigée » qui a suscité une vive émotion au sein de la communauté juive. « Il ne fallait pas l’adopter » résumait-il, le 9 mai, devant les amis du Crif.Deuxième acte : Manuel Valls regrette, deux jours plus tard, lors des questions au gouvernement, des « formulations malheureuses, maladroit ...

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