Steve Suissa : « Bâtir un pont d’amour entre la France et Israël est un joli signe de paix »

Actualité Juive : Ce festival suscite indéniablement l'intérêt du public. Les deux précédentes éditions du Festival se sont jouées à guichets fermés. Vous êtes surpris de ce succès ?Steve Suissa : Non car je pense que Jean-Marc Dumontet et moi avons jusqu'à présent apporté des spectacles de qualité. Nous mettons tout en oeuvre afin que tout soit optimal. Comme construire des décors que l'on détruit une heure et demie après. Personne ne l'avait jamais fait. Les éclairages sont ceux imaginés par les créateurs et la qualité du son équivalente à celle des concerts d'Omer Adam. On fait faire le tour du pays aux acteurs et à leurs familles quand ils viennent. On est là pour faire de la transmission et non du business.A.J.: Comment vous est venue l'idée de ce festival ?S.S. : J'étais venu il y a 8 ans au Collège Académique de Netanya sur invitation de Claude Brightman présenter Le journal d'Anne Franck avec Francis Huster. On a donné deux représentations, l'une à Netanya et l'autre à la cinémathèque de Tel-Aviv. C'était sur liste d'attente. Et en repartant, je me suis dit que ce n'était pas un hasard et qu'il fallait bâtir un pont d'amour entre la France et Israël. Et que je ne voyais pas pourquoi une grande ville comme Tel-Aviv et un grand pays comme Israël n'auraient pas droit à leur festival.A.J.: Quel type de public se déplace pour ce festival?S.S ...

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