Stéphane Freiss La vie devant soi

Le flamboyant acteur passe, cet été, derrière la caméra pour tourner son premier long-métrage. Stéphane Freiss vit entouré de livres, en achète beaucoup, mais avoue qu’il ne les lit pas tous ! Dans son quartier latin tant aimé, il se rend trois fois par semaine à sa librairie « L’Écume des Pages », comme on se rend dans une boulangerie avec appétit. « Je ne mange plus de gluten, mais j’avale du papier, plus digeste ! », lance-t-il d’un rire communicatif. Même s’il n’est pas très réseaux sociaux, pendant le premier confinement, tout en souffrant d’un méchant Covid, il a offert sur Facebook et Instagram 47 lectures quotidiennes passant de Camus à Rilke, Saint-Exupéry… et bien sûr, Gary, qu’il interprétait au théâtre, il y a peu encore.« Ce premier confinement, je l’ai traversé par moments avec beaucoup de difficultés. Parfois, tout devenait flou, je tentais de m’accrocher, mais je me sentais perdre pied, ne plus comprendre jusqu’aux choses les plus simples de ma vie. Dérive inquiétante que j’ai pourtant surmontée… parce que j’ai aimé. Et cet amour réussissait à mettre le reste en sourdine. Momo dit dans « La Vie devant soi » : « On ne peut pas vivre sans quelqu’un à aimer ». Comme il a raison ! Vivre est une prière que seul l’amour peut exaucer », rajoute Gary. Les scènes de théâtre, les lieux de vie et de culture se sont fermés. La fiction a disparu. Et on se rend compte alors que la réalité ne lui arrive pas à la cheville ! ».Pendant le deuxième confinement, l’acteur se décide à descendre dans la rue pour y jouer une partie ...

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