Sofa Landver : « Mieux comprendre pour mieux accompagner »

Actualité Juive .: Sur le terrain et à la Knesset, les francophones s’organisent pour obtenir plus de droits et une meilleure reconnaissance : qu’en est-il des équivalences professionnelles ?S.L : On essaie d’adapter les programmes aux mentalités, pays d’origine, professions exercées, à la langue, la culture. Il y a eu pour les Français une analyse des métiers et une avancée dans les équivalences. Avec l’aide du Premier ministre, nous avons favorisé l’équivalence des métiers exercés, pensant que si un médecin est bon en France, il le sera en Israël. Il y a eu également une formation pour être professeur de français afin de pouvoir enseigner cette langue. Nous avons beaucoup fait avancer les équivalences professionnelles : les dentistes par exemple, la législation pour les équivalences concernant les diplômes des médecins, maintenant ceux des infirmières.A.J.: Vous avez souvent évoqué la distinction entre alyah et intégration. Expliquez-nous…S.L : Ce salon est un travail d’encouragement à l’alyah afin que chacun sache ce qui l’attend à son arrivée en Israël ...

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