Shmuel Trigano: Pharaonique Obama

Le pacte nucléaire avec l'Iran caractérisera la fin de l'ère Obama. Elle est digne d'une saga shakespearienne. Monté au pouvoir à l'instar d'un dieu inaugurant une ère de paix mirifique - rappelons-nous le Prix Nobel reçu avant même d'avoir accompli quoi que ce soit! -, il termine sa deuxième cadence comme un Caligula jetant son pays et le monde entier dans une adversité violente et sans précédent dans l'histoire.Etrange histoire, en effet, d'une puissance impériale apaisant son ennemi irréductible -pourtant un nain militaire face à elle - et abandonnant ses alliés les plus fidèles! Obama l'empereur fou, le Caligula de notre temps! Le pharaon hiératique et erratique! Il faut voir de plus près le personnage théâtral. Son discours a toujours été évanescent et narcissique, centré sur son nombril; "Regardez-moi. Je suis un métis, Barack Hussein Obama, et mon père était kényan" Ce fut le seul argument de sa montée au pouvoir. Relisez bien ses discours de présentation, bien en phase avec la post-démocratie des postmodernistes où la valeur se fonde  dans la race ou le genre, voire la religion ("de paix"). Il exorcisait adroitement la conscience coupable de l'Amérique envers son passé ségrégationniste. C'est parce qu'il était noir, avant même tout argument rationnel, qu'il souleva l'enthousiasme quasi messianique de ses supporters dans le monde, et notamment en Europe.C'était un choix commandé par la magie, la foi, mais pas l ...

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