Sammy Ghozlan : Faux alliés, faux amis

«Yes I Can" avait déclaré Barak Obama lors de son discours d’investiture il y a huit ans, après son élection à la tête de la plus grande nation du monde, les Etats-Unis d'Amérique. Yes I Can, Yes I Did aura-t-il ajouté dans sa longue tirade d'adieux à la fin de ses mandats. Son bilan est contesté et contestable. Selon beaucoup d'observateurs, il a affaibli la puissance des USA. En agissant diplomatiquement contre Israël, il aura entamé la confiance qu'avaient mise en lui Israël bien sûr, mais bien d'autres nations, qui restent sur leurs gardes, et sont tentées de regarder vers l'Asie (Inde, Chine etc.) et la Russie. Les épreuves du passé, et les déceptions d'aujourd'hui démontrent qu'Israël ne peut compter que sur lui-même, sur sa force de dissuasion ...

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