Ronit Elkabetz, mort d’une interprète de la vie

Dans la pièce de théâtre « Kean », Alexandre Dumas puis Jean-Paul Sartre (il a adapté l’œuvre) imaginaient un comédien qui, dépassé par la multiplicité de personnages qu’il avait interprétés, finissait par confondre la scène et la vie, et faire siens les caractères de ses rôles. Ce mardi 19 avril, le rideau s’est baissé sur l’existence de Ronit Elkabetz. Et si les planches craquent encore, c’est du bruit de nos pas qui étouffent avec peine nos sanglots.Car, qu’elle fasse de sa vie une œuvre cinématographique avec la trilogie « Prendre femme », « Les sept jours » et « Gett, le procès de Viviane Amsalem », coréalisée avec son frère Shlomi, ou qu’elle choisisse de faire des ménages pour se former avec Ariane Mnouchkine, alors qu’elle se trouvait « Prédestinée » au succès en Israël, Ronit Elkab ...

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