Richard Prasquier : « Nous sommes portés par le rêve israélien »

Actualité juive : Le Keren Hayessod lance sa première campagne en France de façon indépendante pourtant, les donateurs français vous connaissent et vous ont déjà fait confiance. Comment envisagez-vous ce qui reste paradoxalement une première fois ? Richard Prasquier : Oui, c’est paradoxalement une première fois alors que le Keren Hayessod collectait jusqu’en 1967, quand son accord avec le FSJU a donné naissance à l’AUJF. La rupture récente de cet accord a entraîné une rupture entre le FSJU (et l’AUJF « nouvelle formule ») et les institutions nationales israéliennes que sont le Keren Hayessod et l’Agence juive. D’où la réouverture du Keren Hayessod en France. Bien sûr, le poids des habitudes, l’ignorance dans laquelle ont été maintenus les militants, la crainte de la nouveauté compliquent notre travail : nous devons expliquer et expliquer encore. Mais notre succès ne fait aucun doute : c’est avec l’ensemble du judaïsme mondial que nous travaillons. Le Keren Hayessod, qui développe aussi en Israël des activités autonomes, comme le soutien des innovations énergétiques dans les transports est, avec la Coordination des Fédérations américaines, le bras financier de l’Agence juive. Je reviens de Jérusalem où je suis entré au Board des Gouverneurs de l’Agence Juive. Je peux vou ...

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