Rentrée universitaire : le casse-tête des yom tov de Tichri
Certes moins contraignantes que les examens de fin d'année pendant Chavouot, les nombreuses absences dues aux fêtes de Tichri demeurent toujours une difficulté à surmonter pour les étudiants. Un juif pratiquant devra en un mois rater l'équivalent d'une semaine de cours, qu'il lui faudra bien entendu rattraper. « Le plus embêtant, témoigne Éliya, étudiant en troisième année de licence à Paris-VII, c'est que les fêtes coïncident avec les premiers cours de l'année. Des cours pendant lesquels on rencontre les professeurs, on établit un programme pour tout le semestre. Rater ces cours donne aux enseignants une image négative de nous ».Idem pour Victoria, fraîchement bachelière, qui intègre cette année une école d'architecture. « Mon année u ...