Régine : « La carte du Regine’s suffisait pour passer les frontières !»

Actualité Juive: « Reine noire de nos nuits blanches » pour Sagan, « un club privé » à vous seule pour Gainsbourg, les Américains vous surnommaient « La happy Piaf ». Vous, vous n’aimez pas l’expression « Reine de la nuit »…Régine : Je préfère dire que je suis une femme d’idées qui n’a eu qu’un but : les mettre en pratique. J’ai inventé la discothèque et j’ai été la première DJ. Ça m’amusait et ça a plutôt bien marché par la suite ! J’ai aussi relancé le twist. Quant à la chanson, je suis plus proche de Fréhel que de Piaf.A.J.: 23 clubs dans le monde : le Regine’s, le New Jimmy’s, le Palace. Quel regard portez-vous sur cette carrière ?R. : Je ne suis pas passéiste, je ne parle pas beaucoup de tout ce que j’ai pu faire en France et à l’étranger. Ce qui m’intéresse, c’est le présent. Je viens de faire un livre avec de nombreuses photos et un coffret de cinquante titres dont un nouveau qui est formidable. Moi, j’aime les chansons ! A.J.: De votre vrai nom Régina Zylberberg, vos origines sont racontées dans la chanson « Azoy »…R. : C’est une chanson de 1972 avec laquelle je démarre mon tour de chant. Elle parle de mon père, resté en Pologne jusqu’à l’âge de 19 ans. Azoy est un mot yiddish plein d’optimisme qui veut dire tout et rien.A.J.: Vous dites souvent : « Je suis une Polac de Belleville ». Est-c ...

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