« Réflexions qu’il est permis d’avoir hacker »
Je ne vais pas me donner le ridicule de plaider dans ces colonnes en faveur de mon client Grégory Chelli alias « Ulcan » encore surnommé le « hacker sioniste ».Ce n'est pas le lieu, et je ne prétends pas à l'objectivité. En revanche, ici mieux qu'ailleurs, on comprendra pourquoi il existe dans la manière dont certains journaux hexagonaux présentent l'affaire qui le concerne les ingrédients trop habituels au conflit palestinien, en matière d'exagération fantastique, de disproportion et de morale sélective.Je ne prétends évidemment pas que les mauvaises plaisanteries auxquelles se sont livrées mon hacker de client sur des journalistes pro-palestiniens ne sont pas condamnables moralement et juridiquement. Il ne s'agit pas seulement d'une précaution écrite de ma part : causer la frayeur, humilier son adversaire, déranger inutilement la police ne sont pas des méthodes admissibles. Mais présenter celui-ci comme un criminel à enfer ...