Pourquoi les Juifs brésiliens font de plus en plus leur Alyah en Israël
Bien sûr, Frishman ou Banana n’ont pas la même aura que Copacabana, d’autant plus qu’on y privilégie les joies des Matkot (raquettes de plage) à celles du ballon rond, c’est-à-dire au futbol (à prononcer « foutchibol »). Reste que les accents du Brésil pourraient très bientôt envahir les avenues de Tel-Aviv et des autres villes israéliennes. Certes, envahir est peut-être un bien grand mot, car si l’Etat juif compte près de 12.000 citoyens d’origine brésilienne, leur Alyah annuelle n’est en moyenne que de 250 personnes par an. 2015 semble changer cette tendance puisque le journal Haaretz rapporte que cette année, les prévisions tablent sur l’installation de 500 Juifs brésiliens en Terre Sainte. ViolenceSi ce chiffre qui reste modeste par rapport à ceux de la Al ...