Pour décrocher des réseaux sociaux en s’inspirant du chabbat

Quand Internet ne fonctionne plus, on a l’impression d’être coupé du monde. Si on oublie de prendre sa tablette, on a la sensation d’être un étranger dans ce monde où les individus fonctionnent avec un écran. Certains ont l’impression de subir la censure quand ils ne peuvent réagir immédiatement sur les réseaux et s’exprimer. La défense d’utiliser tous ces instruments, durant la journée de chabbat, permet de se libérer de l’emprise des écrans, et de ces touches que l’on frappe. La civilisation juive du chabbat n’est plus technologique, elle est humaine. Le chabbat se présente ainsi comme une salutaire rupture dans l’univers de la technique qui nous enchaîne subrepticement.L’être humain évolue sur deux domaines : le domaine privé, celui de la vie intime. S’y déroule la vie familiale conjuguée à toutes ses dimensions : la vie du foyer, du couple, de l’éducation des enfants... Le second relève du domaine public. C’est celui de la sphère de la rencontre avec l’étranger, de l’activité économique, sociale et politique, de la découverte d’autrui. Ces deux expériences sont légitimes ...

Vous devez être connecté(e)(s) pour accéder au contenu du journal

Je me connecte

Supplément du journal

Petites annonces

Votre annonce ici ? Ajouter mon annonce

Publicités

Bouton retour en haut de la page

Vous ne pouvez pas copier le contenu de cette page