Patrick Bruel : « Ce film est une pierre de plus à l’édifice du travail de mémoire »

Actualité Juive: Présentez-nous votre personnage.Patrick Bruel : Je joue Roman, coiffeur à Paris, marié, deux enfants. On est en 1942. Un soir, les deux enfants rentrent de l’école. Je les assois autour de la table et je leur explique que mon père un jour m’a obligé à quitter la Russie parce que c’était dangereux pour nos vies. C’était au moment des pogroms. Et mes enfants comprennent que c’est en train de se passer. Je leur donne les clés virtuelles pour les sauver, c’est-à-dire les laisser partir seuls dans la nuit, aller prendre un train avec un peu d’argent, une carte, quelques recommandations, telles que ne jamais dire qu’ils sont juifs. Ils partent avec l’image de leur père très forte qui va les accompagner tout au long de leur parcours et tout au long de leur vie ...

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