Parachath Balak : L’amour contre la haine

Notre paracha se situe à l’issue de la traversée du désert par les Hébreux. Balak est le roi d’un peuple qui craint leur passage sur son territoire. Pour se débarrasser d’eux, il fait appel à Bilâm, un prophète non juif qui possède le pouvoir de maudire. Enthousiasmé par cette mission, Bilâm se lève le matin et sangle lui-même son ânesse, au lieu de le demander à ses serviteurs, tant il est pressé de maudire les enfants d’Israël. Rachi (1) tire, de cette ardeur, un principe : la haine ne tient pas compte de la hiérarchie, alors que normalement un homme important confie cette tâche à ses serviteurs. Mais notre commentateur rajoute un point : à la suite de ce geste de Bilâm, D.ieu dira : « Bilâm, homme dépravé que tu es, Avraham leur père t’a précédé comme il est écrit « Avraham se leva le matin, il sangla son âne ». A quelles idées renvoie cette opposition ?Dialoguer ? La haine de Bilâm est un sentiment, gratuit, qui n’est fondé sur rien. Les codes ...

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