PARACHAT METSORA’ « Comme une tache… »

Concernant les taches qui apparaissent sur les murs des maisons, la Torah dit que le propriétaire de la maison en question doit se rendre auprès du Cohen et déclarer : « kanéga’, comme une tache, il m’est apparu dans la maison » (Lev. 14, 35). La Michna Negaim (12, 5) précise que même un érudit qui connaît parfaitement les lois relatives aux taches des maisons et qui en a déterminé la nature exacte, ne peut pas déclarer « une tache, il m’est apparu dans la maison ». Malgré ses connaissances et sa science, il doit lui aussi reprendre la formule du verset « kanéga’, comme une tache, il m’est apparu dans la maison ». Autrement dit, il doit dire ce qu’il faut dire sans tenir compte de sa subjectivité. Et nul doute que si chaque homme ne disait que ce qu’il faut dire, aucune maison ne serait tachée, et la vie de la collectivité ne serait pas abîmée. Selon le Torah Temima (sur notre verset), l’érudit ne peut déclarer « une tache, i ...

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