On a lu le roman israélien «Pour elle, volent les héros»

Bien que la sonorité Mitteleuropa de son nom puisse surprendre l’oreille israélienne, Amir Gutfreund, prix Sapir 2003 («Les gens indispensables ne meurent jamais») est un auteur pur jus de la littérature hébraïque à laquelle il a apporté une voix et un style uniques. Né en 1963 à Haïfa, de parents juifs polonais survivants de la Shoah, Gutfreund fut, après des études de mathématiques, lieutenant-colonel dans l’armée de l’air. Fidèle à sa conviction qu’il est difficile «d’être né à la fois juif et israélien», son dernier roman, traversé d’allusions au discours d’Eleazar Ben Yair à Massada, à la Déclaration d’Indépendance et au Nobel Agnon, plonge dans l’histoire d’Israë ...

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