Olivier Rafowicz : Il y a des limites à ne pas dépasser

Il existe une expression en hébreu qu’utilisent rarement les Israéliens : « A baal a bayit ishtaguea » littéralement « Le patron, le propriétaire, est devenu fou », qui s’emploi quand il faut dire stop, quand les limites sont dépassées.C’est-à-dire qu’il ne faut pas trop jouer avec les juifs, leur honneur, leur foi, leurs valeurs et leur pays sinon ils risquent de sérieusement s’énerver et là, les résultats peuvent dépasser les prévisions.Je dis celà car depuis le début de la nouvelle année juive, il y a à peine 15 jours, il y a comme une volonté conjointe de la part des Arabes de Judée-Samarie et de Gaza - qu’ils soient Hamas, Fatah, ou d’autre obédience antisioniste – et de la part des Arabes israéliens qui refusent d’honorer la mémoire du défunt président Pérès, de vouloir reprendre la lutte armée, d’attaquer la police et de jeter des pierres et des cocktails molotov le soir de Yom Kippour à Jérusalem et de nous défier sur le plan international, soit en voulant nous exclure de la FIFA, soit en prônant avec l’aide chaleureuse et bienveillante de l’Unesco, la création d’une nouvelle histoire de l’humanité, selon laquelle les Arabes musulmans sont les seuls et uniques maîtres de la ville de Jérusalem. Les ...

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