Objectif : trouver son âme soeur

Dans un monde où les rencontres se font en swipant sur les applications en ligne, il semble de plus en plus difficile pour un célibataire juif de trouver son bashert, son âme soeur. C'est dans ce contexte que s'est tenu à Jérusalem le tout premier congrès de chadkhanim – entremetteurs - au monde, un système de matchmaking ancestral qui entend bien se substituer aux algorithmes. Initié par le rav Yisroel Bernath, fondateur de JMontreal.com, service de rencontres juives basé à Montréal qui a donné naissance à JMatchmaking International, et Aleeza Ben Shalom, star de la téléréalité Jewish Matchmaking sur Netflix, ce congrès a réuni une centaine d'entremetteurs du monde entier. Israël, Royaume- Uni, États-Unis ou Lettonie. Expérimentés ou novices, professionnels ou bénévoles, moitié ultra-orthodoxes, moitié orthodoxes modernes, 95 % de femmes mariées et un seul homme, tous ont partagé leurs expériences, explorer la pertinence de leur rôle à l'ère moderne, discuter des défis actuels etdes perspectives. Le public a débattu, entre autres, de la pression à exercer sur les célibataires, de la durée pendant laquelle il convient d'encourager les couples à sortir ensemble avant les fiançailles, du volume d'informations à partager avant un premier rendez- vous, et de la question de savoir s'il fallait sortir simultanément avec plusieurs prétendants. Ils sont aussi venus écouter ces orateurs qui révolutionnent le chidoukh. « Le concept de bashert ne veut pas dire que chacun n'a qu'un seul partenaire prédestiné. L'idée est de trouver celui ave ...

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