Nos patriarches : Messagers de l’Unicité divine et de l’unité humaine

A deux reprises, en Egypte chez Pharaon, puis chez les Philistins devant Avimèlèkh, Avraham a déclaré que sa femme Sarah était sa sœur. Son fils Yits‘hak emploiera le même subterfuge au sujet de Rivka chez Avimèlèkh. Ce « mensonge » suscite l’étonnement. Pour certains commentateurs, ils ont agi ainsi, ne voulant pas compter sur un miracle pour ne pas être tués par ceux qui auraient voulu s’emparer de leurs épouses, particulièrement belles. Or, comment comprendre cette attitude de la part de nos ancêtres dont la foi en Hachem était absolument inébranlable – de la part d’Avraham qui avait surmonté ses indicibles épreuves imposées par Hachem, et de celle de Yits‘hak qui avait été prêt à être immolé ? Et que devons-nous retirer de leur conduite, sachant que : Ma‘assé avoth siman labanim – « Les actions des patriarches sont un signe pour leurs descendants de toutes les générations » ?Avraham et Yits‘hak réussirent à faire triompher le monothéisme dans le monde et à « laver » celui-ci de l’idolâtrie (« lois sur la ‘Avoda Zara » de Maïmonide). Leur objectif était de faire passer auprès de leurs disciples le message de la foi et de la ...

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