Nadav Lapid : « La poésie exprime la sensibilité humaine »

Actualité Juive : Présentez-nous votre film ?Nadav Lapid : Une maîtresse, amoureuse de la poésie, mais médiocre poétesse, découvre dans sa classe un enfant de cinq ans qui récite ses propres poèmes. Elle choisit de le protéger de la vulgarité du monde. Tout cela existe dans le film, mais il est plus existentiel que narratif. En fait, l’histoire oscille entre le vide et ce qui a un sens. Cette femme est en quête désespérée et frénétique du beau et du profond. C’est ce qu’elle veut préserver chez cet enfant.A.J. : Parmi la centaine de poèmes que vous avez écrits entre 4 et 7ans, vous en avez choisi certains. Pourquoi ceux-là ?N.L. : « Hagar » est le premier que j’ai rédigé. Il était dédié à la sœur aînée d’un ami. Elle avait 7 ans, une grande pour moi. Je l’ai choisi parce qu’il était à la fois primitif et profond ...

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