Monter sa boîte en Israël: les erreurs à éviter

Nathalie et Laurent Ben Haim sont des commerçants. Depuis Paris, où ils faisaient les marchés pour vendre des foulards, en passant par leur magasin de chapeaux à Nice, pour arriver enfin en Israël où ils se lancent dans la pâtisserie. Quand les Ben Haïm font leur alyah, il y a 6 ans, ils ne savent pas de quoi ils vont vivre. Ils comptent sur leur sens des affaires et leur flair pour trouver une idée de business, mais "le problème est", comme dit Laurent, "que tous les Français ont les mêmes idées quand ils arrivent en Israël : faire de l'import-export avec la France ou ouvrir un restaurant". Alors, en attendant d'avoir l'éclair de génie, Laurent continue de faire la navette avec la France. Mais très vite, ils décident de vendre le magasin et de s'investir entièrement en Israël. Nathalie qui a toujours aimé cuisiner prend des cours de pâtisserie, et c'est là que les Ben Haïm décident d'ouvrir une école de pâtisserie. Ils investissent dans du matériel, font de la publicité, inscrivent les premiers élèves et lancent NESS Pâtisserie - la première école de pâtisserie Française à Jérusalem. Ne compter que sur sa bonne étoile?Cependant, Laurent se rend vite compte que la profitabilité de l'activité n'est pas optimale et que le temps investi à enseigner pourrait être rentabilisé par la production et la vente de gâteaux ...

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