Lueurs et ténèbres

L’année 2020, malgré la joie durable de ‘Hanouka, s’achève dans une lumière ambiguë. À l’horizon, le jour rasant et frêle d’un soleil d’hiver, un soleil blanc qui, certes, ne réchauffe pas, mais pourvoit en raisons d’espérer – de cultiver cette Tikva, si intime à l’esprit du judaïsme. Deux de ces lueurs scintillent depuis Israël. Sur la scène géopolitique, d’abord : l’État juif a pris de vitesse tous les sceptiques en se libérant du fatalisme. Comment ? En nouant des liens avec des puissances arabes jusqu’ici captives de la vulgate officielle, négatrice de l’existence juive en Eretz Israël. Vertu de l’« effet domino » ? Ces premiers accords dits de « normalisation » en entraînent déjà d’autres, remodelant plus sûrement l’Orient arabe que les ingénieries diplomatiques antérieures. Reste à voir si ...

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