L’héritage de David Ben-Gourion

Le 14 mai 1948, alors que la foule est en liesse, David Ben-Gourion a le cœur qui oscille entre l’enthousiasme et l’inquiétude. « J’avais, moi, le cœur serré parmi les heureux. Il n’y avait aucune joie dans mon cœur. Je ne pensais qu’à une chose, à la guerre qu’il nous faudrait livrer dès demain », écrira-t-il dans son journal intime. Et l’histoire lui a donné raison. A peine le Haut-Commissaire britannique en Palestine, Sir Alan Cunningham, fut monté à bord du croiseur Euryalus, mettant ainsi un terme au mandat britannique, que les pays arabes lancent leurs troupes contre le jeune ...

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