Les Français sur les campus israéliens

Ils sont rares ceux qui s’immergent brutalement dans la société israélienne. Comme leurs aînés, les étudiants français semblent privilégier un plongeon en douceur dans cette nouvelle réalité qu’ils ont adoptée.Pour Amélie Hababou, directrice “Information et Orientation” du Centre National des Etudiants Francophones (CNEF), c’est la meilleure manière de s’intégrer. « Il serait en effet irréaliste de demander à des jeunes d’absorber une culture, un mode de vie et une langue différents tout en entreprenant un cursus universitaire de haut niveau. S’entourer d’un petit cocon à la française pendant un ou deux ans permet d’éviter les écueils sans empêcher une intégration réussie » explique cette professionnelle de l’intégration estudiantine.Principalement localisés dans les universités et écoles de Jérusalem, Bar Ilan, Hertzlya et Netanya sans oublier le Technion de Haïfa, les étudiants français sont estimés à environ 1500 par année universitaire. Un chiffre qui devrait selon les spécialistes doubler d’ici les 2 prochaines années.Une arrivée que deux nouveaux pôles universitaires montants - l’université d’Ariel et l’école d’ingénieurs de Beersheba – encouragent en proposant des formules d’accueil adaptées aux Français. Celles-ci se traduisent notamment par la possibilité de faire une année prépa ...

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