Les différents domaines d’intervention

Les moyens financiers mis en œuvre par le Fonds Myriam seront répartis par domaines d’action de la façon suivante : 40 % pour l’éducation, 40 % pour le social et le médico-social et 20 % pour la culture et la vie associative.Ce découpage prévisionnel correspond aux estimations d’une étude menée en juin 2020 par une équipe de bénévoles conduite par Julien Roitman, le secrétaire général du Casip-Cojasor, qui avait évalué à plusieurs dizaines de millions d’euros les besoins, dans ces domaines, des organismes communautaires pour les trois années à venir. L’étude anticipait, par ailleurs, un glissement de la population modeste et moyenne inférieure de la communauté juive vers la précarité de l’ordre de 5 000 à 10 000 personnes. La pandémie a entraîné des difficultés économiques et sociales majeures, accentuant les problématiques des structures déjà fragilisées avant la crise. Dans le domaine de l’éducation, par exemple, les écoles qui ne rencontraient pas de problèmes particuliers sur le règlement des frais de scolarité ont eu à souffrir de déficits dans des proportions bien inférieures que les écoles dont l’équilibre financier est inévitablement précaire, car peu de familles payent le prix affiché. « Avec la crise, ces établissements pratiquent encore plus de remises et accueillent davantage d’élèves pour ne laisser personne sur le bord de la route. C’est une situation paradoxale et, d’un point de vue économique, très compliquée », expl ...

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