Le sectarisme dans ses œuvres

Le moins qu’on puisse attendre d’un homme de lettres et de réflexion qui observe les mouvements profonds de la société, c’est qu’il aille les observer avant d’en parler. C’est précisément ce qu’Alain Finkielkraut avait résolu de faire, le 16 avril au soir, en compagnie de son épouse. Tous deux étaient donc là en citoyens ordinaires, venus écouter et voir un mouvement qui prétend rénover les pratiques politiques et donner la parole à ceux qui en sont exclus. Si l’académicien a pu rester assez longtemps sur les lieux sans être pris à partie, c’était sans compter sur un groupe qui avait décidé qu’il n’était pas le bienvenu. Les ...

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