Le projet Devarim expliqué

« Nous voulions créer un espace d'étude qui allie l'exigence intellectuelle que l'on peut trouver à l'université à l'engagement existentiel dans l'être juif tel qu'il existe dans les yeshivot », expliquent Nathalie et Hanna, les deux amies qui sont à l'initiative de Devarim Project. Aujourd'hui en France, à part à Strasbourg qui est une ville très spéciale, on trouve très peu d'espaces qui mêlent ces deux exigences ». Il semble en tout cas, au vu du nombre important des élèves qui affluent aux trois études sur textes hebdomadaires (une bonne quinzaine par cours), que l'aspiration de Nathalie et Hanna - qui souhaitent rester discrètes - soit largement partagée à Paris. « Le nombre de gens réceptifs ...

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