Le nerf de la guerre
Après un pseudo retour à la normale ce matin du 6 mai et un cessez-le-feu très précaire, Israël essaye comme à l’accoutumée, hélas, de se remettre de ces deux jours de confrontation, de pluies de roquettes, de panser ses blessés et d’enterrer les morts de ce conflit interminable, bien qu’inévitable, le Hamas, le Djihad islamique, les Palestiniens et temps d’autres mouvances alliées. Les dirigeants de Ramallah refusant d’encaisser les fonds versés par Israël, tant que l’Etat hébreu bloquera les sommes allouées par l’Autorité palestinienne aux familles des terroristes tuées ou emprisonnées. Par conséquent la situation économique s’est beaucoup dégradée et l’Autorité palestinienne est au bord du précipice financier. La fierté et l’arrogance suscitent une agitation sociale et politique au risque de se retrouver ruinée et effondrée. En cette veille de Ramadan, l’Autorité palestinienne joue son dernier va-tout, malgré les efforts faits au niveau international pour essayer de réduire l’embrasement et l’agitation de la population victime de ses dirigeants mal intentionnés.Et bien sûr une fois de plus on a droit au déferlement de haine ...