Le jeûne du 17 Tamouz : Un deuil Porteur d’espoir

La joie, comme on le sait, est un principe déterminant du judaïsme. A son propos, les Maîtres du Hassidisme affirment qu’elle n’est pas une mitzva, au sens propre du terme, mais que les effets qu’elle produit sont plus grands que la mitzva qu’elle accompagne. Elle doit imprégner notre vie juive tout au long de la journée pour lui donner une impulsion vivifiante. Dès lors, quelle place doit-on lui donner durant les Trois semaines, une période qui ...

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