Le Golan sur un Plateau

Le 21 mars, en pleine fête de Pourim, l'annonce de Donald Trump a tout d'abord résonné comme une farce. Très vite pourtant, il a fallu se rendre à l'évidence : la déclaration du président américain, même sur Twitter, était bien authentique. « Après 52 ans, il est temps de reconnaître la souveraineté d'Israël sur le Plateau du Golan », avait affirmé le chef de la Maison Blanche. Binyamin Netanyahou, qui avait reçu un peu plus tôt le Secrétaire d'Etat américain, a été le premier à remercier le président américain pour son « audace ». En Israël, à quelques exceptions près, toute la classe politique a salué la position du président des Etats-Unis. Sur la scène internationale en revanche, les réactions étaient nettement moins enthousiastes. Sans surprise, l'Iran, la Syrie, mais aussi la Russie ont condamné l'annonce américaine. Damas dénonçait une violation « irresponsable » des résolutions du Conseil de Sécurité, faisant écho à la position de Moscou, qui mettait également en avant les décisions ...

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