Le destin contrarié des Juifs marocains

En dehors des souvenirs des anciens, la vie juive au Maroc n'est plus qu'une survivance. Outre l'expulsion des juifs des pays arabes, l'attrait pour l'Occident et Israël a vite fait des mellahs, des synagogues et des tombeaux de saints des lieux de pèlerinage pour les « Marocains » de France, du Canada et d'Israël. Ainsi à Pessah, la population juive du Maroc quintuple pour passer à 10 000 personnes, venues du monde entier pour célébrer les seders, sur la terre de leur enfance et de leurs aïeux. Il subsiste pourtant ici et là, un restaurant, un centre culturel, une synagogue ou un centre sportif. Et dans ce dernier, le SOC (Stade olympique casablancais), se déroulera la première édition du Casablanca Jewish film festival, du 25 au 27 avril. Trois films y seront présentés. Deux fictions, « Aïda et l'Orchestre de minuit », et un documentaire : “Marocains juifs, des destins contrariés”, sont au programme de ce festival atypique. Sim ...

Vous devez être connecté(e)(s) pour accéder au contenu du journal

Je me connecte

Supplément du journal

Petites annonces

Votre annonce ici ? Ajouter mon annonce

Publicités

Bouton retour en haut de la page

Vous ne pouvez pas copier le contenu de cette page