Laissez parler les papiers

C’est en saisons que les poètes aiment compter. Celles de Jean-Paul Enthoven se de-vaient d’être de papier, là où les écrivains couchent les fulgurances qui ont rythmé la vie de cet amoureux des livres et des femmes. Il suffirait de quelques saisons de moins pour que les noces soient, elles aussi, de papier. Peut-être sont-elles d’une flanelle qui sied à cet esthète mondain célébrant, en sigisbée lettré, la passion torrentueuse -l’adjectif revient souvent sous sa plume- qu’il entretient avec la littérature. Cela signifie, en langage enthoveniaste (n’avait-il pas décelé, à ses débuts, la proximité « quasi kabbalistique » des cinq premières lettres de son nom avec celles du mot « ...

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