L’âge d’or de la hazanout ashkénaze

Il est peut-être difficile aujourd’hui d’imaginer l’engouement du public pour les prestations des plus grands « hazanim ». Mais, dans la période d’entre les deux guerre, dénommée à juste titre, « l’âge d’or de la hazanout », non seulement de grands cantors occupaient le devant de la scène mais les simples juifs étaient excessivement friands de ce type de prestations. Comme le raconte le rabbin Allan Nadler, «  à l’âge d’or du quartier du Lower East Side à New York et dans des quartiers similaires à travers l’Amérique, les seli’hot étaient le lieu où les hazanim en concurrence pouvaient montrer leurs qualités vocales. Nombre de présents attendaient le dimanche matin suivant l’office pour acheter leurs places pour les Yamim Noraïm, décidant dans quelle ...

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