La terroristophilie
Le 21e siècle a mal commencé pour les juifs de France : dix-huit ans d'antisémitisme et la mort de juifs tués parce que juifs, soixante ans après la Shoah. La gauchosphère responsable de cette situation est aujourd'hui affectée de « terroristophilie », cette nouvelle maladie contractée par ceux qui soutiennent imprudemment des terroristes au motif qu'ils sont palestiniens et réclament leur libération. En les comparant aux résistants français qui n'ont tué ni civils ni enfants, ils insultent l'histoire de France. La discrimination antisémite qui s'est développée à la faveur de la solidarité avec les "pauvres" palestiniens, se manifeste jusqu'au au niveau du terrorisme. Comme si les terroristes qui assassinent des juifs en Israël doivent être distingués de ceux qui tuent en Europe et notamment en France, en égorgeant, en poignardant, en faisant exploser des bombes, en attaquant des salles de spectacle ou des organes de presse.Tout terrorisme doit être condamné, qu'il sévisse en Irak, en Syrie, en Egypte, en Afghanistan, au Kenya, au Maroc, en Angleterre, en Allemagne, au Mali, en France ou en Israël. Pourtant des élus qui détiennent une parcelle de pouvoir usent et abusent de leur mandat. Ils font adopter des résolutions illégales qui appellent à boycotter les produits de l'Etat juif. Pire encore, ils élèvent les terroristes palestiniens comme Barghouti, ou Salah Hamouri au rang de Citoyens d'Honneur, en dépit du fait que Barghouti a du sang sur les mains et pas seulement juif. Barghouti n'a rien à voir avec Nelson Mandela auquel ils veulent le comparer. ...