La haine de la police et du sionisme

Étudiants ou sans emploi, connus pour certains des services de police pour leur participation antérieure à des rassemblements interdits, ils appartiennent à la mouvance antifasciste radicale. Les faits commis sont particulièrement graves : la voiture de police ayant été incendiée par un fumigène, ont été retenues les qualifications de "tentative d'homicide volontaire sur personne dépositaire de l'autorité publique", destruction de biens "en bande organisée par moyens dangereux", "violences en bande organisée avec arme sur personne dépositaire de l'autorité publique" et "participation à un attroupement armé avec dissimulation du visage". Les mis en examen sont proches du collectif "Action antifasciste Paris-Banlieue", fondé en 2008 et connu du public depuis la mort en 2013 de Clément Méric, un de ses militants, tué lors d'une rixe avec des partisans de l'extrême-droite radicale. Cette confrontation avait conduit le gouvernement à prononcer ensuite la dissolution de plusieurs groupuscules d'ultra-droite, dont Troisième Voie.La haine de la police et de toute forme d'Etat, qui s'exprime dans toutes les manifestations contre la loi Travail et l'état d'urgence, a franchi un palier avec cette agression et surto ...

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