La grève de la faim s’essouffle

La contestation a du plomb dans l'aile. Une semaine après le déclenchement de l'opération, près d'une centaine de détenus membres du Hamas quittaient le mouvement. Déjà une centaine d'autres avaient interrompu leur grève de la faim. Officiellement, le mouvement lancé le 17 avril et suivi par un millier de détenus sécuritaires palestiniens visait à obtenir de l'administration pénitentiaire israélienne l'installation de cabines de téléphones dans les salles communes, le rétablissement des visites bimensuelles pour leurs familles, la levée de toutes les limitations de droit de visite pour les proches, et d'autres aménagements qui donneraient aux quelque 6 500 Palestiniens purgeant des peines pour terrorisme des conditions équivalentes à celles des détenus de droit commun. Mais derrière les revendications pratiques se cache le véritable enjeu, celui d'une lutte politique inter palestinienne. Marwan Barghouti, l'ancien chef de la branche armée du Fatah, ...

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