La force du réseau pour trouver ses marques en Israël

Gilles Saada

Depuis sa création, l’organisation Qualita s’est fixée pour objectif de fédérer et d’aider les organisations francophones qui participent à la « klita » des juifs français en Israël. Comment ? Les réponses avec Gilles Saada, ex-président émérite de la synagogue Emouna et responsable de ce département. Combien y a-t-il d’associations en Israël qui aident les Français dans leur intégration ?Gilles Saada : On en dénombre environ une trentaine, actives dans les domaines de la réinsertion professionnelle, du soutien psychologique, de l’aide aux adolescents, aux familles dans le besoin, à l’alyah de groupe, au service civil, aux activités extra- scolaires… Les sujets intéressant les Français, ici, sont évidemment variés. Nous avons décidé de soutenir de différentes manières tous ceux qui œuvrent, le plus souvent bénévolement, à la réussite de l’Alyah francophone et ce, depuis la création de Qualita. Ce soutien est-il principalement financier ?G.S. : L’accompagnement de certains projets, spécifiques, est l’une des parts importantes de notre action. Avec un budget annuel de deux millions de shekels, dont la répartition est décidée en interne par une commission, ...

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