La fête de Pourim : Hasard ou nécessité ?

« Au premier mois, mois de Nissan, la douzième année du règne d’Assuérus, on consulta le « pour » c'est-à-dire le sort, devant Haman, en passant d’un jour à l’autre, et d’un mois à l’autre jusqu’au douzième mois qui est le mois d’Adar » (Esther 3, 7). Haman entend utiliser la notion de hasard pour s’attaquer aux juifs de l’empire comme si la vie du peuple juif relevait de l’accidentel, du ponctuel, comme si le monde effaçait d’un trait tout ce que la civilisation juive avait apporté au monde. Haman avait dit au roi : « Cela ne vaut pas le coup de les laisser[en vie] ». Si le hasard signe sa fin, c’est que c’est aussi le hasard qui l’a mis au monde. Au tirage au sort, un jour en vaut un autre sans qu’aucune signification ne puisse être donnée. Histoire de probabilité où l’histoire relate que la Révélation divine aurait pu ne pas être écrite, clame Haman. Le juif, produit du hasard, sera retranché par le hasard. C’est l’histoire inventée par Haman. Hasard, tous ces bienfaits ap ...

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