Kev Adams : « Je suis très fier de ce que je suis, de mes origines »

Actualité Juive: Comment se prépare-t-on à ce rôle de séducteur compulsif ?Kev Adams : J’ai suivi les indications du metteur en scène avec lequel j’avais déjà travaillé sur la série « Soda ». Il est talentueux, et je lui fais totalement confiance. Je devais oublier les codes que je connaissais de la scène et du cinéma pour inventer ensemble un personnage. Détestable au début, il passe d’une relation à une autre, mais paradoxalement on le découvre très attachant. A.J.: Votre admiration pour Leonardo di Caprio que vous trouviez très séduisant quand vous étiez très jeune, même si vous l’êtes toujours, vous avez 26 ans, vous a-t-elle aidé ?K.A. : Oui et non. Je pense toujours à lui, c’est un des meilleurs acteurs au monde. Mais je me suis plutôt inspiré des comédies des années 50 avec James Stewart, ou plus tard George Clonney, élégant dans « Ocean 11 ». Je trouve que c’est très cool de revenir à ce genre de cinéma. La classe !A.J.: Vous jouez cette fois un adulte, et malgré votre âge votre personnage pourrait être bien plus vieux. K.A. : Effectivement mon rôle change des précédents. Je grandis, et c’est superbe de pouvoir jouer de jeunes adultes. Il aurait pu être interprété par un quarantenaire, sans aucun souci, mais sa jeunesse lui amène une fraîcheur. Le film avait été écrit pour quelqu’un de plus vieux. A.J.: Après Di Caprio, votre admiration va à Gad Elmaleh que vous avez rencontré en convainquant un vigile de vous laisser entrer dans sa loge ...

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