Joël Mergui : L’an prochain à Jérusalem ou la résolution de l’Unesco du 11 avril 2016

A lire la énième résolution de l’Unesco contre Israël, prise ce 11 avril, je ne peux m’empêcher d’éprouver un double sentiment. Sentiment d’injustice d’abord, pour Israël devenu la cible permanente des terroristes, des négationistes et des antisonistes de salon, antisémites au col blanc qui incitent à la haine et à la désinformation, premier pas de la négation et de la réécriture de l’histoire.Sentiment d’injustice également, au regard du mépris dont témoigne l’Unesco pour le lien essentiel entre d’une part le peuple juif et son histoire et d’autre part Jérusalem et la terre d’Israël.A quelques jours de tourner nos prières vers Jérusalem et de célébrer Pessah comme depuis plus de 3000 ans, nous recevons en plein cœur la résolution offerte aux ennemis des Juifs et d’Israël par les représentants de l’Unesco qui sape une fois de plus, la vérité et la réalité historique.De fait déjà, la Palestine, autrefois « terre des Juifs » aux yeux des Romains est devenue aujourd’hui une revendication nationaliste anti-israélienne. Par un subtil tour de passe-passe, le Mont du Temple a été ensuite rebaptisé “Esplanade des Mosquées”. Dans la continuité de ce travail d’érosion, ce 11 avril, par l’opération de son jargon créateur, l’Unesco vient donc d’acter la transformation de l’Esplanade du Mur Occidental en “Esplanade Al-Buraq”, tout comme avait déjà été actée l’exclusivité patrimoniale palestinienne sur la ville de Hébron ...

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