« Je sais que cette fois, il n’y a pas de kamikazes dans les bus. Mais il suffit d’un fou avec un couteau…»

A première vue, tout a l’air normal. Les rues du centre de Jérusalem ont leur aspect habituel de milieu de semaine, avec les passants qui vaquent à leurs affaires, les voyageurs qui attendent aux arrêts de bus, les yeux dans le vide ou rivés sur l’écran de leur téléphone. Romy s’est rendue à son travail comme tous les jours. Trois quarts d’heure de bus pour rallier le centre-ville depuis le quartier nord de Pisgat Zeev. « Cela faisait longtemps que je n’avais plus vu de barrage de police à l’entrée des quartiers arabes. Ça me rappelle des mauvais souvenirs, mais on n’a pas trop le choix. Car ça ne fait que  commencer » prédit la jeune femme, qui n’a pas oub ...

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