Je me questionne, donc je suis

En cette veille de Kippour, je vous propose une réflexion sur la notion du questionnement critique mais constructif.  Souvent on s’imagine que celui qui croit ne doute pas. C’est évidemment un cliché qui cherche à rassurer mais qui dissimule une réalité bien plus ambiguë. Pour le judaïsme, l’esprit critique est recherché et enrichissant. La passion pour l’interrogation est devenue au fil des siècles un ingrédient essentiel de la culture juive.Ainsi le mot sagesse se dit en hébreu « Hokhma » qui peut  se lire aussi  Koah – Ma, la force du Pourquoi. Les lettres hébraïques ayant des valeurs numériques, celle du  mot « Adam » qui signifie homme est égal au mot « Ma » qui veut dire, quoi ? Pourquoi ? Ne peut-on pas en déduire que l’homme est une question Le judaïsme n’est pas un dogme qui enferme et fige la pensée. Il faut fuir la pratique d’un rituel vide de sens où l’on ne pense plus et où l’on n’agit que par routine. D.ieu n’a ...

Vous devez être connecté(e)(s) pour accéder au contenu du journal

Je me connecte

Supplément du journal

Petites annonces

Votre annonce ici ? Ajouter mon annonce

Publicités

Bouton retour en haut de la page

Vous ne pouvez pas copier le contenu de cette page