Italie-France: la rentrée de la génération Griezmann

Pour les Bleus aussi, ce jeudi 1e septembre a un goût de rentrée. Avec quelques heures de décalage, cette joyeuse bande de copains, qui a touché du doigt l’éternité pendant 107 minutes, une nuit de juillet, au milieu des papillons, va retrouver son terrain de jeu favori.  Les affaires reprennent et ce n’est pas leur proviseur en chef, Didier Deschamps, qui s’en plaindra. Voilà la compétition qui se profile à nouveau.Le rythme va monter en puissance au fil des jours, évoluant lentement du match de reprise aux rencontres éliminatoires.  Le premier col démarre ce soir sous le soleil accueillant de la Côte adriatique avant de gagner le ciel moins clément de la Biélorussie. Point de chute espéré : le Mondial russe dans deux ans. On n’en est pas encore là. Les souvenirs d’un Euro entraînant ont résisté aux vagues de l’été, même à celles qui ont envoyé Moussa Sissoko aux quatre coins de l’Europe avant de lui permettre de retrouver son capitaine Hugo Lloris à Londres. Le parcours, à vrai dire pas toujours linéaire de l’équipe de France, du 10 juin au 11 juillet, a laissé des traces, et elles sont belles. De quoi poser des bases encourageantes pour la suite. L’Euro 2016 sera-t-il pour la « génération Grizi » ce qu’a été l’Euro 96 pour Zidane and co ? On a envie d’y croire. Revoir France-Allemagne, dans un Vélodrome en folie, renforce la foi.Retour vers le futurDu Vél’ au Stadio San Nicola, il n’y a qu’un pas, on le sait depuis vingt-cinq ans maintenant. Bari, cité des Pouilles et des pleurs, dans la légende des hommes pour Nicolas de Myre et Basile Boli. En m ...

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