Isaïe, la haftarah qui bouleverse le matin de Kippour

La haftara que nous lisons durant l’office de cha’harit à Kippour est tirée des chapitres 57 et 58 d’Isaïe. C’est un texte superbe : il fustige âprement l’hypocrisie de tous ceux qui, oubliant que morale et religion sont indissociables, se montrent sourcilleux jusqu’à l’obsession à l’endroit du rite et négligent allègrement leurs responsabilités à l’égard d’autrui. Usant d’apostrophes virulentes, d’interrogations oratoires, de déclarations ironiques, d’antithèses vigoureuses, de métapho ...

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