« Ils étaient venus nous égorger, moi, ma femme et nos cinq enfants »

Mercredi, 5 heures et demi du matin. Dans la maison encore endormie, Royi Harel a revêtu son uniforme de Tsahal et s’apprête à partir pour sa période de lieutenant de réserve. Quand il ouvre la porte, deux jeunes Palestiniens se jettent sur lui, armés d’un manche de hache, de matraques et de couteaux. Royi ne perd pas son sang-froid et répond aux coups.Pour lui, une chose est claire : à aucun prix il ne doit laisser l ...

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